NEVER SAY NEVER
Verse 1
J'ai rien d'un moneymaker, pour faire du bacon, il me faut une chance, donnez moi en rien qu'une, j'va pas licher des culs, je suis un entertainer, je fais juste kicker des verses qui te font péter la tête ses murs, fuck ce que disent les haineux, je donne une chance à la paix comme John Lennon, je vien d'une place où il fait frette, ça fait que ce qui coule dans nos veines, c'est du feu pis quand on crache, c'est pas de la bave, c'est du venin, les femmes viennent de Vénus, les hommes viennent de Mars, alors qu'est-ce que j'fais sur Terre, le ciel est bleu, la mer est calme, je feel juste quand c'est la pleine lune, je n'attend rien de personne mais le pire dans tout ça est-ce que c'est moi? surement, je suis seul au monde, je dis ça solennelement, je veux juste me faire sucer le gland en regardant le soleil levant, je suis dans mon élément quand le monde est dedans, un peu de bonheur momentanément, le mal nous attire comme un aimant, même si je pense à demain, l'important c'est maintenant, c'est un événement d'être vivant, achètes ma réalité, même mes rêves je les vend, je n'ai rien à cacher fak j'enlève mes vêtements, je regarde devant and I never say never
Refrain
Never say never 23x
Verse 2
Mais tu viens de le dire 23 fois, t'aurais du fermer ta gueule, ah ouin ton excuse c'est que tu faisais un props à Michael Jordan, ok il joue pu depuis un boutte fak c'était un props à Lebron James, non c'est à moi-même, j'ai tellement une grosse tête que j'avais ce numéro là au secondaire, j'ai grandi dans le Northside, à force d'écouter du Sans Pression, on a finit par dire you know i'm sayin, en buvant notre Colt 45, on faisait des freestyles pis on se disait que les lois il faut les emfreindre, pis laisser nos empreintes dans le game, je pense qu'on est en plein entrain de faire ça, sauf qu'on a faim, faut que ça paye, on dirait que ceux qui percent ils sont fake so, qu'est-ce que tu veux j'te dise, j'écrivais (inaudible) non, qu'est-ce que tu veux j'te dise, j'écrivais mes verse sur le speed, tu le sais de quelle époque je suis, si tu sais c'est qui Manuel Hurtubise, dans le temps que Gregory Charles avait pas un esti de dollars, pis le seul noir qu'on voyait à tivi, cétait le black dans Watatatow, y était sa patente à Laval, c'était le voisin de moi pis Sad, on arrêtait pas de l'entendre se chicaner avec sa femme blanche, là on a Karim Ouellet, y était temps que ça change, shout out à la famille Beaudin, ça se peut que mon enfant soit brown, ça se peut que l'industrie dise que je pervertie la jeunesse mais je suis prêt à prendre le blâme, j'approche de trente ans, je dis ce que je pense, je pense ce que je dis, depuis le temps que je trempe, entre le street et le star système, là y est temps que ça se passe cuz i never say never
Refrain